Quel est le lien entre le tourisme et le terrorisme ?

Véritable casse-tête de nombreux pays du monde, le terrorisme est un fléau qui ruine le développement de plusieurs secteurs d'activité. Le tourisme n'en est pas épargné. Les touristes constituent en réalité la principale cible des terroristes. Que savoir du lien entre tourisme et terrorisme ? La réponse à travers cet article.

Les cas les plus écœurants

Le déclenchement d'engins explosifs par les kamikazes, les attaques aux voitures piégées ou les fusillades sont les méthodes des terroristes, pour atteindre leur cible. En 2002, 202 personnes ont succombé suite à l'attaque terroriste de Bali en Indonésie dont l'attractivité touristique n'est plus à démontrer. La France et la Tunisie ont été en 2015 touchés, la Côte-d'Ivoire fut elle-même touchée par les attaques du Grand-Bassam. Au Bénin des terroristes ont procédé à l'enlèvement de touristes français ainsi que du principal guide touristique du "Parc de le Pendjari" Les sites touristiques sont sans doute la cible des attaques terroristes, situation qui crée un climat de peur et par conséquent une chute du nombre de visiteurs. Doit-on suspendre les visites touristiques pour réduire le taux d'attaques? La réponse est non.

Le tourisme : un pont franchit par les terroristes pour sévir.

La majorité des terroristes acquièrent malheureusement des visa du tourisme pour accéder au lieu où ils commettent leur crime. Il est connu de tous que le tourisme est une activité qui regroupe de nombreux ressortissants occidentaux. Ces derniers, pour diverses raisons, sont les premières cibles des terroristes. Les attaques terroristes sont généralement menées pour attirer le regard des dirigeants occidentaux sur l'ingérence de ces derniers dans les affaires politiques des pays arabes. Puis qu'il est une certitude que les pays arabes surtout du Moyen-Orient sont les foyers du terrorisme. Le radicalisme et les conflits d'intérêts sont des situations qui révoltent les terroristes...La lutte contre le trafic d'armes doit s'accentuer.